Et je me sens vide, insuffisant, incomplet. Rempli par la résonance de mon addiction, je survis péniblement dans ce vide effrayant. Je lui parle souvent, et aux battements chaotiques de mon cœur, elle me répond. "Ne t'empresse pas, j'arrive pour te soulager. Bientôt ta fin sera là, et le néant supplantera ta souffrance. A quoi bon se battre, alors qu'irrémédiablement nous parcourrons le Styx côte à côte." Je me sens vide. L'adrénaline de ma quête intellectuelle me noie dans un néant de connaissance. Je suis ivre des frontières à repousser. Voyage avec moi, complète-moi.
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